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Montmartre secret

Montmartre secret

Pour les Amoureux de Montmartre sans oublier les voyages lointains, l'île d'Oléron, les chats de tous les jours. Pour les amis inconnus et les poètes.

Publié le par chriswac
Publié dans : #MONTMARTRE Peintres.Artistes.Clébrités, #MONTMARTRE. Rues et places.
Autoportrait

Autoportrait

Demetrios Galanis rue Cortot. Montmartre.

Nous devrions connaître son nom pour trois raisons dont chacune suffirait à justifier cette mémoire.

                                                      Portrait de Mlle Schwartz à l'Opéra (1910)

Premièrement il est un peintre de grand talent. Celui dont Malraux écrivait qu'il était "capable de provoquer des émotions semblables à celles de Giotto". Quel rapprochement! quel hommage! Il fut d'ailleurs le premier peintre auquel l'écrivain consacra une étude. L'amitié entre les deux hommes ne se démentit jamais.

                                                                            Rue Cortot

Deuxièmement, dans tout cet essaim d'artistes de talent et parfois de génie qui vécurent à Montmartre,  il est le seul Grec!

Appartement et atelier de Galanis rue Cortot

Appartement et atelier de Galanis rue Cortot

                                                       

Troisièmement il est de tous ceux-là le plus fidèle à Montmartre, le seul qui vécut au cœur de la Butte, 12 rue Cortot pendant plus d'un demi siècle! De 1910 à 1966!

 

Il eut donc l'occasion d'avoir pour co-locataires célèbres Francisque Poulbot pendant une année en 1911 ... 

                                                          Poulbot. Musée de Montmartre.

Emile Bernard de 1910 à 1912 (ce dernier y a vécu de 1906 à 1912....)

 

Et enfin "Le trio infernal" Valadon, Utrillo, Utter de 1911 à 1925.

Après le départ d'Utrillo et de Valadon, Uter restera son voisin et habitera rue Cortot jusqu'en 1948.

Galanis est né dans l'île d'Eubée en 1879. Doué pour le dessin et la peinture il débarque à Paris à 21 ans pour suivre les cours de Fernand Cormon à l'Ecole des Beaux Arts.

  Cormon est très lié à notre Montmartre puisqu'il ouvrit un premier atelier 10 rue Constance et un second 104 boulevard de Clichy où passeront Lautrec et Emile Bernard entre autres. 

Nous connaissons ce bon peintre académique pour ses sujets bibliques ou historiques et notamment la fameuse "fuite de Caïn" (musée d'Orsay)

Galanis en même temps qu'il étudie, collabore à quelques journaux satiriques comme l'Assiette au beurre, le Gil Blas, le Rire...

                                                            L'Assiette au Beurre (Galanis)

                                             Elle : "Trois louis! .... Tu le prends donc pour un mendiant? ...

                                             "Les femmes sont des fleurs mon ami, il faut les arroser."

Dès 1904 il participe à des salons et se lie d'amitié avec des artistes qui l'apprécient (Matisse, Derain, Maillol). Son style s'affirme alors avec son sens des volumes qui ne cherche pas à copier le réel mais le rattache aux peintres primitifs.

                                                                                Cabaret (1910)

En 1912 il s'associe au mouvement cubiste et participe à des expositions. Mais il n'est pas homme à s'enfermer dans un mouvement ou une école. Son cubisme reste empreint de classicisme et de spiritualité.

Il aime peindre des paysages et des natures mortes. Pendant la guerre il s'engage dans la Légion, ce qui lui vaudra sa naturalisation.

                                                                Paysage au rocher (1918)

De retour à Montmartre, Galanis reprend son activité et se consacre surtout à la gravure.

Il possède dans son atelier rue Cortot une presse qui lui permet de travailler comme au XIXème siècle avec son "vélo", burin à 2 ou 6 tranchants capable de tracer des lignes parallèles

 

 

 

Avec sa femme Fanny, il reçoit régulièrement la visite de Malraux et de Clara qui raconte cette relation :

«Parfois nous montions jusqu'à la rue Cortot où habitait Galanis, graveur et peintre, mais surtout graveur. L'atelier donnait sur un jardin; je crois qu'Utrillo, Utter et Valadon habitèrent un temps ce même immeuble. J'aimais la netteté du trait gravé de Galanis et la sensualité sans vulgarité dont il marquait ses sujets, instruments de musique, fruits ou paysages, mais je m'étonnai quand j'entendis mon compagnon affirmer – en 1922 ou 1923 – que l'année suivante serait l'année Galanis. Plus juste me sembla cette constatation : «Il est un des rares peintres intelligents.» «Cultivé aussi. Liseur et musicien.»

C'est par Galanis que Malraux entre dans le monde des peintres.

C'est pour parler de lui qu'il trouve sa vocation de critique. Il aime parler de sa simplicité et du dépouillement de ses compositions que certains ont taxée d'art archaïque. Il n'hésite pas à rapprocher la maîtrise de la gravure de son ami de celle des artistes italiens de la Renaissance.

 

Il aime se rappeler leurs balades à Montmartre, les rencontres avec les peintres de la Butte et le jour où  après un long périple il l'écoute dans son atelier jouer du Bach au piano. 

Nul doute que cette amitié, les fréquentes visites rue Cortot, les rencontres avec les artistes à Montmartre, pousseront plus tard Malraux, ministre de la Culture, à jouer un rôle décisif dans la sauvegarde des hôtels de la rue Cortot et de leur transformation en musée.

                                                              Le peintre, sa femme et son  fils

                                                                            Portrait de son épouse

Admirateur de Bach, Galanis avait appelé son fils Jean Sébastien.

                                                                        

Ce fils pour lequel Malraux écrivit un "Tombeau" après que son navire Le Lisieux eut fait naufrage en 1940 au large de Terre Neuve.

(Parmi les rescapés figurait Sébastien Daragnès, fils de Jean-Gabriel Daragnès dont l'atelier était situé avenue Junot et qui figure parmi les plus grands illustrateurs du XXème siècle.)

                                                            Rue Saint Vincent. (Daragnès 1946)

Malraux écrit en hommage à Jean Sébastien :

«Comme le visage de L'Enfant au cheval mécanique, si souvent dessiné par Galanis, était devenu pour nous tous inséparable de son art, Jean Sébastien est maintenant inséparable de tous ceux dont le murmure fraternellement mêlé de tués et de survivants maintient, sous l'épouvantable silence, l'accent de ce que fut la voix de la France – de ceux qui permettront à la France d'avoir encore une voix.»

 

Galanis est reconnu par ses pairs et il est nommé professeur à l'Ecole des Beaux Arts avant de devenir en 1945 membre de l'Académie des Beaux Arts.

Cette reconnaissance vient nous interpeler en un temps où son nom est presque oublié et où le Musée de Montmartre lui accorde si peu de place.

 

Les amateurs de beaux livres, eux,  ne l'ont pas oublié et s'arrachent les ouvrages qu'il a illustrés (Jammes, Nerval, Gide, Arland etc...)

 

Souhaitons qu'une prochaine exposition au Musée de Montmartre permette de redécouvrir ce beau peintre qui fut la majeure partie de sa vie Montmartrois! Et terminons avec les mots de Malraux sur l'art de son ami :

«Si la peinture qu'expose aujourd'hui Galanis doit être rapprochée de quelque autre, c'est de celle des primitifs italiens de la première Renaissance. Non qu'elle procède d'un même idéal artistique ; mais grâce à la susceptibilité qu'elle possède de faire ressentir à un artiste moderne des émotions du même ordre que celles que lui pourrait faire éprouver un Giotto. Il y a chez les deux peintres une simplicité, une suppression d'artifices capable d'émouvoir, et qui créent une sentiment d'une extrême distinction».

 

Annexe. Quelques rares dessins et toiles représentent Montmartre. Je n'ai pu trouver celle qu'il peignit sous la neige et fait partie d'une collection privée.

                                                       Affiche pour le bimillénaire de Paris

                                                                 Paris vu de Montmartre

                                                                     Rue des Abbesses

En faisant quelques recherches sur Galanis, j'ai reçu des témoignages de gens qui l'avaient connu.  Ils me décrivirent un homme chaleureux, facétieux et disponible. Quand le Musée fut créé et les jardins redessinés, il y avait au pied de l'atelier un tertre recouvert de végétation sauvage qui avait été formé, jour après jour, par les cendres du poêle que le peintre descendait et qui au fil des années avaient formé ce terril. Le terril fut arasé, le jardin aplani. Au grand regret du Montmartrois qui me raconta cette anecdote. Elle me touche. On imagine 56 ans de cendres qui restaient vivantes avec les herbes qui la recouvraient. 

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Publié le par chriswac
Publié dans : #MONTMARTRE. Rues et places., #MONTMARTRE Peintres.Artistes.Clébrités

Il  a été donné à Montéhus un petit espace ridiculement réduit, une "placette" comme l'indique la plaque de la ville de Paris.

 

Il est vrai que nous voyons depuis quelques années une multiplication spectaculaire de ces trottoirs baptisés place ou placette, de ces modestes espaces entre deux rues, parés de noms nouveaux! Comme juste en face, la place Suzanne Denglos-Fau.

 

Une mode qui a aussi de bons côtés puisqu'à Montmartre de nombreuses femmes ont pu, grâce à elle, attirer notre attention et réparer l'injustice d'une surreprésentation mâle des plaques indicatrices!

Gaston Montéhus. La Placette. Le Chansonnier.
Placette côté Lamarck et Couté

Placette côté Lamarck et Couté

Montéhus a donc fait son apparition sur un court terre-plain situé entre les rues des Saules, Caulaincourt  et Lamarck, quelques mètres carrés sans grand intérêt sur lequel ne donnent que deux immeubles, celui qui fait l'angle avec la rue des Saules et celui qui fait l'angle avec la rue Gaston Couté.

 

Placette côté Caulaincourt et rue des Saules

49 rue Lamarck (placette Montéhus)

49 rue Lamarck (placette Montéhus)

Un seul immeuble possède une entrée sur la place. Apparemment il a gardé son ancienne numérotation rue Lamarck. Donc aucun Parisien n'a le nom de Montéhus pour adresse. Le Cocci Market lui même préfère le 49 rue Lamarck!

L'immeuble porte le nom de son architecte et sa date de construction : A. Coudert 1913.

Nous retrouvons cet architecte sur la façade de quelques immeubles parisiens, notamment rue Beaubourg, aux 82 et 84.

 

Rien à dire des deux autres immeubles dont l'adresse n'est pas sur la placette!

Quelques mots maintenant sur l'homme qui a l'honneur de lui donner son nom : Gaston Mardochée Brunswick, futur Montéhus qui vit le jour le 9 juillet 1872 non loin de Montmartre, dans le Xème arrondissement de Paris dans une famille qui comptera 22 enfants.

Les bonnes fées ne se sont pas penchées sur son berceau en faisant de lui un Juif allemand (tiens, souvenir de 1968 et de Cohn Bendit, "Nous sommes tous des Juifs allemands")!

                                        (Dreyfus, parodie du tableau de Gill (1875) pour le Lapin Agile.)

Entre la haine de la Prusse qui a écrasé la France un peu avant sa naissance et l'antisémitisme qui va se déchaîner en 1894 avec l'Affaire Dreyfus, Gaston Mardochée préfèrera troquer son patronyme pour celui de Montéhus.

Un nom rare qui concerne peu de familles en France mais qui s'accompagne dans une dizaine de cas du prénom Gaston. 

                                                                Gaston Montéhus 1918

Si notre Gaston aime se balader sur la Butte et  péleriner sur les lieux des massacres versaillais, ce n'est pas à Montmartre qu'il commence à chanter. Son premier texte qui le fait vraiment connaître, c'est "La Grève des Mères" en 1905.

Il provoque une vive réaction du gouvernement qui le fait condamner pour "incitation à l'avortement" alors que le pays a besoin plus que jamais de chair à canon.


Refuse de peupler la terre,
Arrête ta fécondité.
Déclare la grève des mères
Aux bourreaux crie ta volonté !
Défends ta chair, Défends ton sang,
À bas la guerre et les tyrans !

C'est en 1907 qu'il connaît une vraie popularité avec sa chanson toujours célèbre : "Gloire au 17ème" qui rend hommage au régiment qui refusa de tirer sur les manifestants pendant la révolte des vignerons à Béziers.

                        Les mutins du 17ème refusant de tirer sur les révoltés

Salut, salut à vous,
Braves soldats du 17e !
Salut, braves pioupious,
Chacun vous admire et vous aime !
Salut, salut à vous,
A votre geste magnifique !
Vous auriez, en tirant sur nous,
Assassiné la République.

Cette chanson vite devenue un étendard des pacifistes n'empêchera pas Montéhus de changer radicalement pendant la première guerre pour écrire des textes patriotiques et militaristes (la Voix des mourants, Debout les morts).

Lui qui ne fut pas mobilisé, qui ne connut rien des horreurs et des souffrances des tranchées, n'hésita pas à monter sur scène, la tête entourée de pansements. 

 

Après la guerre, nombreux sont ceux qui lui reprocheront cette mise en scène.

Il essaie de la faire oublier en écrivant une chanson qui se répandra plus tard dans les milieux pacifistes : "La Butte Rouge". Il n'y est pas question de Montmartre et de la Commune mais d'une bataille terrible sur la Somme, pour conquérir la butte de Bapaume. Cette chanson est celle de Montéhus qui a été le plus souvent reprise (Montand, Ogeret, Renaud, Escudero...)

(...)

La butte rouge, c'est son nom, l'baptème s'fit un matin
Où tous ceux qui grimpèrent, roulèrent dans le ravin
Aujourd'hui y a des vignes il y pousse du raisin
Qui boira d'ce vin là boira l'sang des copains

Sur cette butte là, on n'y f'sait pas la noce,
Comme à Montmartre où l'champagne coule à flots
Mais les pauvr' gars qu'avaient laissé des gosses
Y f'saient entendre de terribles sanglots

(...)

   

 Avec le Front Populaire dont il est un ardent défenseur, il retrouve la scène et obtient du succès avec ses chansons engagées.

Il en compose une pour Léon Blum qu'il admire (peut-être pense t-il en écrivant les paroles aux moulins de la Butte!)

 

Vas-y Léon, défends ton ministère

Vas-y Léon, Faut qu'Marianne ait raison

Car Marianne est une meunière

Et les ailes de son moulin

Doivent tourner pour les prolétaires

Pour qu'le peuple ne manque pas de pain

 

Pendant l'occupation, malgré le port de l'étoile jaune, il parvient à se cacher et à échapper à la déportation. Il écrit en 1944 une pièce "Le chant des gaullistes" en hommage aux résistants. Mais il est déjà oublié et ne survit pendant ses dernières années (il meurt en 1952) que grâce à sa famille. N'oublions pas qu'il est d'une fratrie de 22 frères et soeurs!

Rues Lamarck et Gaston Couté (à droite)

Rues Lamarck et Gaston Couté (à droite)

La placette qui porte son nom rend justice à cet idéaliste toujours engagé du côté des plus humbles, un homme au grand cœur dont le nom à Montmartre voisine celui de Gaston Couté.

Les deux Gaston doivent bien s'entendre c'est certain! 

 

Gaston Montéhus. La Placette. Le Chansonnier.Gaston Montéhus. La Placette. Le Chansonnier.

Je n'ai rien dit de sa voix claire et précise, à la diction parfaite, de l'intensité de ses interprétations généreuses. Cet homme-là aimait l'humanité et se sentait proche des plus humbles. Une autre époque!

 

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Publié le par chriswac
Publié dans : #MONTMARTRE. Rues et places.
Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

Et revoilà Novembre dont le nom révolutionnaire va de Brumaire à Frimaire. Des noms qui donnent envie de rester sous la couette! Pourtant ma passion photographique m'entraîne dans les rues de la Butte à la recherche sinon du soleil, du moins de la lumière des visages.

 

1er novembre. Une certaine tristesse avec les suites de Bach pour violoncelle (jouée ce matin-là sur une contrebasse).

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

2 novembre. Couple et dormeur 

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

3 novembre. La vie en bleu!

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

4 novembre. Heureux et fier comme un petit chien aimé.

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5 novembre. Spiderman junior.

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6 novembre rue de la Bonne.

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7 novembre. jour d'automne rue Ronsard

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8 novembre. Les escaliers de la Butte quand on a l'estomac en pente.

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

9 novembre. Bouddhiste en couleurs dans rue grise.

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

10 novembre. Début d'éradication des cadenas après la chute d'une grille surchargée. Travail de Sisyphe!

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

11 novembre. Du vent dans les voiles

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12 novembre. Pigeon vole

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

13 novembre. Approche en douceur

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

14 novembre. Rue Gabrielle, la maison Neumont en automne.

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

15 novembre. Pompon rouge ou nez de clown?

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

16 novembre. Ils avaient disparu depuis les Jeux Olympiques. Ils sont revenus toujours complices.

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

17 novembre. Place du Tertre sous les parapluies. Plus belle que sous les hangars des restaurateurs!

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

18 novembre. Place des amours.

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

19 novembre. Square Nadar

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

20 novembre. Singing in the stairs (rue Foyatier)

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

21 novembre. Neige place du Tertre

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.
Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.
Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.
Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.
Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.
Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.
Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.
Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

22 novembre. Avant que ne fonde la neige! La dernière datait d'il y a plus de 5 ans!

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

23 novembre. Plus une trace de la neige!

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

24 novembre. Anniversaire des 5 ans de ce brave chien!

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

25 novembre. Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publiques

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

26 novembre. La mélancolie sur un air de guitare (rue saint Eleuthère)

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

27 novembre. Sous la protection du feuillage d'or.

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

28 novembre. Ange musicien rue saint Rustique.

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

29 novembre. Bébé ne sait pas qu'il est sur la balançoire de Renoir!

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

30 novembre. Toujours dans le jardin Renoir ces enfants et ce chat... peut-être celui de Suzanne Valadon?

Novembre 2024. Album photos Montmartre jour après jour.

Le mois s'achève avec quelques jours de soleil, trop rares. Il paraît qu'il n'y a eu à Paris que 15 heures de soleil pour tout le mois! Mais les lumières de Noël commencent à briller. Bonjour décembre! Comme dit la sagesse populaire : "Novembre a sa fin, Décembre au matin!"

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