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Montmartre secret

Montmartre secret

Pour les Amoureux de Montmartre sans oublier les voyages lointains, l'île d'Oléron, les chats de tous les jours. Pour les amis inconnus et les poètes.

Publié le par chriswac
Publié dans : #MONTMARTRE Monuments. Cabarets. Lieux, #MONTMARTRE. Rues et places.
La Tour Montmartre.  Rue de l'Empereur. Rue Lepic. Tour Solférino.

  Avant que le Sacré-Cœur ne dominât la Butte de toute sa blancheur, le plus beau panorama sur Paris s'offrait aux visiteurs depuis une tour de 43 mètres de haut où il était possible d'accéder par un escalier afin de profiter moyennant un modeste droit du "point de vue" exceptionnel.

La Tour Montmartre.  Rue de l'Empereur. Rue Lepic. Tour Solférino.

      Adolphe Joanne évoque l’établissement dans son ouvrage Paris illustré : Nouveau Guide de l’étranger et du Parisien : « Aux coins des rues de l’Empereur et du Vieux-Chemin [actuelle rue Ravignan], en face d’un petit réservoir octogone des eaux de Paris, sur les bâtiments du café de la Tour Montmartre, dont l’enseigne porte cette inscription prétentieuse : Au plus beau point de vue du monde, s’élève une tour-belvédère à deux étages, avec balcons, et du haut de laquelle on découvre absolument la même vue que de la terrasse des Moulins. D’autres belvédères ont été construits, dans ces dernières années, sur différents points du versant méridional de la butte » (

La Tour Montmartre.  Rue de l'Empereur. Rue Lepic. Tour Solférino.

     Nous connaissons donc l'emplacement précis de cette guinguette et de sa tour, sur ce triangle qui fait aujourd'hui partie de la place Jean Baptiste Clément, devant le vieux réservoir que l'on aperçoit sur la droite. 

 

    Et que savons-nous d'autre? Rien! ou presque! Sinon qu'elle était située 114 rue de l'Empereur, ce qui nous permet de la dater entre 1852 et 1864. C'est en effet pendant ces années que l'actuelle rue Lepic s'appelait rue de l'Empereur.

La Tour Montmartre.  Rue de l'Empereur. Rue Lepic. Tour Solférino.

     La tour Montmartre pouvait se vanter d'être la seule à offrir un panorama impressionnant sur la ville car sa rivale, La tour Solférino, ne rivalisa avec elle qu'à partir de 1859, date de son érection.

La Tour Montmartre.  Rue de l'Empereur. Rue Lepic. Tour Solférino.

Les deux tours offraient bien  des ressemblances. La tour Solférino élevée à côté d'une guinguette qui portait son nom, reliée à elle par une passerelle, était située à l'emplacement de la crèche israélite actuelle, rue Lamarck, sur le versant est de la Butte. 

La Tour Montmartre.  Rue de l'Empereur. Rue Lepic. Tour Solférino.

Elle sera en partie détruite en 1870 car elle risquait de servir de repère aux tirs prussiens.

                                       1ère décapitation de la tour en 1870

 

           Elle sera entièrement rasée quatre ans plus tard.

 

     Mais si nous avons de nombreuses informations sur la Tour Solférino, il n'est est pas de même pour notre Tour Montmartre dont il ne subsiste pour l'évoquer qu'un bas relief de stuc au-dessus de la porte d'entrée d'un petit immeuble bien plus jeune qu'elle, 10 place Jean Baptiste Clément.

 

La Tour Montmartre.  Rue de l'Empereur. Rue Lepic. Tour Solférino.

Nous nous contenterons donc de ce modeste hommage dont Montmartre a le secret ( stucs sur l'horrible immeuble qui écrasa la maison de Mimi Pinson. Stucs sur le non moins hideux immeuble qui fit disparaître la maison de Berlioz).

    Par chance aucune immeuble locatif de briques grises n'est venue prendre la place de notre Tour. Un jardin ouvert sur le ciel et sur le paysage urbain, permet à notre imagination de l'ériger à nouveau et d'entendre les flonflons de la guinguette.

 

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Publié le par chriswac
Publié dans : #ASIE, #MONTMARTRE. Rues et places.
Tama river in the Musashi province

Tama river in the Musashi province

    Taï Taï, magasin-galerie du 15 rue André Del Sarte dédié à l'art et artisanat d'Asie est bien connu des amateurs qui apprécient l'harmonie du lieu, l'accueil qui leur est réservé et la diversité, l'originalité des objets et des œuvres proposés .

Depuis le 15 juin et pour quelques semaines, une exposition des 36 vues du Mont Fuji par Hokusaï attend les curieux et les amateurs.

 

Hokusaï est peut-être l'artiste japonais le plus connu en Occident.

                             (Red Fuji. Southern wind. Clear Morning)

Il y eut entre lui et les peintres français des influences manifestes. Ce que l'on a appelé le japonisme chez nous est fortement marqué par sa personnalité alors que son art était considéré comme "léger" dans son pays. Sait-on que les Européens connurent pour la première fois la"Manga d'Hokusaï par le le papier d'emballage des porcelaines!

                                      (The Fuji from Kanaya on the Tokaido)

Les célèbres 36 vues du Mont Fuji (qui sont 46 comme chacun sait!) ont été éditées pour la 1ère fois entre 1831 et 1833.

                                      (Shore of Tago Bay, Ejiri at Tokaido)

Depuis, elles n'ont cessé de fasciner par leur poésie, leur apparente simplicité qui est le tremplin idéal du rêve.

     Evidemment la "Joconde" d'Hokusaï est la célèbre "vague". Une vague immense, vivante, se dresse au-dessus des frêles embarcations. Elle dit la puissance de la nature et la fragilité des humains. Etonnante composition qui unit dans le même paysage la force mouvante des flots et celle, immuable du Fuji.

La vague sera féconde puisqu'elle inspirera l'Art Nouveau et fera l'admiration de Klimt. Comment ne pas citer un des plus beaux vitraux de Paris, place Gabriel-Kaspereit dans le 9ème arrondissement, près de l'avenue Frochot. Sur toute la façade, la fameuse vague change de couleurs avec la lumière et devient féérique lorsqu'elle est éclairée, la nuit, de l'intérieur.

                                   (Tsukada Island in the Musashi province)

Si la première édition des vues est aujourd'hui dans les musées, la qualité des différentes éditions qui se sont succédé depuis la création assurent à la série une renaissance qui ressemble à celle du phénix et permet grâce à la précision des gravures et des couleurs de distinguer les plus belles et les plus rares. 

Ainsi en est-il pour Yūyūdō 悠々洞 - Takamizawa Tadao, l'éditeur des "vues" présentées chez Taï Taï.

 

Les passionnés s'amusent à relever les légères différences d'une édition à l'autre. L'essentiel étant l'intensité des couleurs et des contrastes. Ici la fameux bleu de Prusse qu'utilisa Hokusaï pour la première fois au Japon donne à l'ensemble une cohérence, une atmosphère rares.

                                          (Sunset across the Ryogoku bridge)

Chacun aura ses préférences et je n'hésite pas à présenter mes "vues" préférées mais l'ensemble forme un tout cohérent.

                                                     (Shore of Tago Bay)

 Le Fuji éternel, témoin des agitations humaines, domine le paysage. Il rappelle l'éphémère de l'existence dans une nature qu'il importe de respecter. 

                                          (Inume pass in the Kai province)

C'est un beau moment que celui que l'on peut passer, à l'écart du bruit, devant cette édition remarquable des "vues" d'Hokusaï.

                             (Village of Sekiya at Samida river)

L'exposition vient de commencer et le Fuji a pris ses quartiers d'été 15 rue André Del Sarte! Vous avez le temps de ne pas le manquer!

 

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Publié le par chriswac
Publié dans : #Peintres, #MONTMARTRE Peintres.Artistes.Clébrités
Giorgione. La tempête. Accademia. Philippe Sollers.

    Après la mort de Sollers, j'ai voulu relire son Dictionnaire amoureux de Venise. Comme il y des années, alors que je ne connaissais qu'à peine la Cité des Doges, j'ai relu avec la même curiosité, voire étonnement, son attachement passionnel pour le tableau de Giorgione "La Tempête", exposé à l'Accademia.

   Sollers en parle comme d'une amoureuse que l'on voudrait n'avoir que pour soi seul. 

"Je voudrais le voler, le garder pour moi, dormir près de lui, être le seul à le voir matin et soir. Je ,voudrais survivre en lui, me dissoudre en lui, haute magie, alchimie."

Nous pouvons parler sans jeu de mots d'un "coup de foudre"!

Le tableau peint vers 1506 a provoqué beaucoup d'hypothèses et a fasciné plus d'un amoureux de la grande peinture occidentale. Il a fait l'objet de multiples interprétations avant celle de Sollers.

Voici quelques unes parmi les plus répandues.

 Le "berger" et la femme seraient Adam et Eve après avoir été chassés du Paradis protégé par ses murailles. Eve nourrirait son premier fils Caïn. L'éclair dans le ciel figurerait la colère divine. Il s'agirait alors d'une interprétation peu fréquente dont on peut trouver quelques exemples comme avec cette gravure de Nuremberg de 1493. Sur la droite Eve et ses deux enfants, Abel et Caïn, sur la gauche Adam.

      Une autre interprétation ferait du tableau une illustration d'un roman vénitien (de Colonna) qui connaissait un grand succès : "Le songe de Poliphile".

Le jeune homme est à la recherche de sa bien aimée. Il s'endort, son rêve l'entraîne à travers ruines et villes antiques à la découverte de sa bien aimée avec laquelle il part pour Cythère, l'île de Cupidon.

 Iasion et Demeter

 

  Une autre encore se réfère à l'Odyssée. Iasion tombe amoureux de Demeter avec qui il a un enfant, Ploutos. Zeus se venge de ce mortel qui a osé séduire une déesse en le foudroyant.

     N'oublions pas d'autres explications comme celle de figures allégoriques de la Force (l'homme et son bâton symbole de virilité) et la Charité (la femme donnant généreusement son lait). Cette représentation de la Charité était courante.

                                                  La Charité (Andrea Del Sarto)

    Aucune de ces interprétations n'a satisfait Sollers qui nous donne un conseil judicieux : nous asseoir devant le tableau, nous laisser envahir par lui avant d'émettre quelque hypothèse que ce soit.

"Restez simplement là, devant, taisez-vous, oubliez tout. Le tableau a lieu maintenant pour vous, pour vous seul. Il vous parle du temps par-dessus le temps. C'est sa vocation, sa grandeur, son calme."

"Sur la droite une femme aux trois quarts nue allaite un enfant, attentive, protectrice, un peu inquiète."

     "Sur la gauche, séparé de la femme par une rivière en ravin, un homme désinvolte, jeune, veste rouge, tenant un bâton plus grand que lui (...) Est-ce un père? Un fils? Un passant?

Ce bébé c'était lui dans une autre vie. Naissance d'un côté, virilité de l'autre. La culotte du jeune homme ne dissimule pas une proéminence lovée. Le bâton la souligne."

Sollers note la présence derrière le jeune homme de colonnes brisées qui seraient des tombes. Il fait du tableau une allégorie du temps et du cycle mort-renaissance.  L'homme a été le bébé. Il est passé par la mort. Il renaît, semblable et différent. "Il meurt et devient."

Giorgione. La tempête. Accademia. Philippe Sollers.

En arrière plan s'élève une ville sous l'orage. L'écrivain nous invite à regarder de plus près, à remarquer une touche blanche sur une terrasse, à nous approcher et reconnaître un héron tourné vers l'éclair, vers la tempête annoncée.

"Le musicien et libertin Giorgione s'amuse, puisque c'est là un symbole ancien de l'activité sexuelle frénétique."

Donc en arrière plan, la ville et la luxure et au premier plan, comme protégés de la tempête annoncée, une femme, un bébé et un homme, passés, présents, futurs.

Giorgione. La tempête. Accademia. Philippe Sollers.Giorgione. La tempête. Accademia. Philippe Sollers.

"On est encore en été. Le temps, ensuite, fait son oeuvre de destruction, comme le prouve, du même pinceau, le tableau d'avertissement solennel qui se trouve juste à côté de la tempête : La Vecchia, "La Vieille". C'est la même femme, cinquante ou soixante ans plus tard. Même regard, même intensité traversant les siècles, mais lisez l'étiquette qui remplace l'enfant au sein : COL TEMPO, "avec le temps". Une autre femme, la même, jeune et tranquille est déjà en train de reprendre le rôle dans les bosquets. Et ainsi de suite."

"L'homme, lui, le peintre, s'est éclipsé, mais il va revenir, toujours au même âge."

J'aime cette affirmation parce qu'elle dit au fond à quel point l'art permet de conjurer la mort. En effet Giorgione se serait représenté lui-même dans ce beau jeune homme en habit vénitien. Nous savons qu'il est mort en 1510, à 32 ans lors d'une épidémie de peste.

Nous le voyons aujourd'hui, toujours jeune, beau, énigmatique à gauche de cette "tempête". Orage des passions, violence du temps qui passe sans pitié. Eternité temporaire des créations humaines. Il est là devant nous, il est passé par la peste, par la mort, il est vivant.

Giorgione. La tempête. Accademia. Philippe Sollers.

Pour Sollers ce mystérieux tableau n'est rien moins qu'une image de la condition humaine. "Il est d'un temps nouveau : le plus que présent permanent."

Libre à nous d'adhérer ou non à son analyse. Libre à nous de nous asseoir devant La Tempête et de nous laisser happer par ce paysage, par sa poésie, par son mystère.

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Peintres et étude précise de certains tableaux

Peintres artistes célébrités de Montmartre

                                                      Garçon à la flèche (Giorgione)

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Publié le par chriswac
Publié dans : #Peintres, #VOYAGES...
Le martyre de Saint Sébastien de Mantegna à la Ca d'Oro

La Ca d'oro, la "maison d'or" est un des plus beaux hôtels particuliers de Venise.

Sa façade gothique de marbre blanc se contemple dans les eaux vertes du Grand Canal. Certains de ses éléments décoratifs étaient recouverts de feuilles d'or, aujourd'hui disparues.

Le martyre de Saint Sébastien de Mantegna à la Ca d'Oro

    Elle abrite quelques oeuvres immenses que l'on a le temps de regarder sans être gêné par les visiteurs.

C'est une particularité de Venise : une foule bruyante, accompagnée d'enfants aux voix aigües, des groupes serrés derrière un guide qui brandit un petit drapeau, des dévoreurs de crèmes glacées, des touristes quoi, dont nous faisons partie, et puis, passée la porte des musées et des églises, fraîcheur, silence, recueillement...

Le martyre de Saint Sébastien de Mantegna à la Ca d'Oro

La Ca d'Oro en ce printemps 2023 poursuit d'importants travaux qui interdisent l'accès au 1er étage, mais peu importe, c'est au 2ème que Saint Sébastien nous attend.

Le martyre de Saint Sébastien de Mantegna à la Ca d'Oro

    Après la mort de Sollers, j'ai voulu revoir Venise avec son "dictionnaire amoureux".

Il m'a souvent irrité, notamment quand il se mêle de donner son avis péremptoire sur les peintres exposés à la Fondation Guggenheim et quand il juge "pathétique ou à mourir de rire" ce coin de jardin où Peggy Guggenheim a voulu être enterrée avec tous les chiens de sa vie.

Mais quand il parle de Tintoret, de Carpaccio ou de Mantegna, il capte de toute ses cellules la vibration de leur génie. Aussi je ne peux m'empêcher de citer ce qu'il écrit de ce Saint Sébastien.

"C'est un énorme chef d'oeuvre. Le corps torsadé du saint, les mains liées derrière le dos, s'enlève, criblé de flèches venant de tous les côtés. Il y en a au moins dix-sept, on les entend vibrer et entrer dans les chairs, elles construisent le tableau comme une cage ouverte.

 

L'oeuvre est puisamment autobiographiqe et fantasmatique. Impossible de ne pas être atteint par son intensité masochistement érotique.

Ce tableau est tellement déplacé dans l'atmosphère peu sanglante de Venise qu'il rafle la mise pendant un instant d'abîme. Un instant qui dure, puisque le martyre à l'arc est sans arrêt relancé. Supplice dans une maison d'or : un comble.

Mantegna, toujours en plein dans la cible, a peint une des plus belles Résurrections qui soient."

  Sollers a ressenti le mystère sacré de ce martyr,  cet homme torturé qui ne meurt pas. On ne représente jamais Saint Sébastien mort. Il vit par son martyre. Il reste debout, tourné dans un mouvement puissant vers le ciel. Phénix renaissant de ses cendres, il renaît de ses flèches.

     Regardons son visage. un oeil est presque fermé, presque mort, l'autre est grand ouvert et regarde vers la lumière. La bouche à moitié ouverte se crispe mais une esquisse une prière.

La chevelure est parcourue par le vent qui vient de la droite, du côté de l'oeil ouvert. Côté de la vie, de l'Esprit.

Mishima photographié en Saint Sebastien

Mishima photographié en Saint Sebastien

    Sollers évoque Mishima qui fut fasciné par l'image de Saint Sébastien dont l'érotisme a fait une icône gay. Mais c'est le Sébastien de Guido Reni qui attirait l'écrivain. Un Sébastien moins violent, presque féminin, le visage apaisé, le corps touché plus que traversé par quelques flèche, le pagne se défaisant sur le pubis.

 

Rien de tel chez Mantegna. Sébastien criblé de flèches est puissant comme un atlante. Son visage qui n'a rien de "joli" est travaillé par la souffrance et par l'aspiration vers la libération et l'envol.

 

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Publié le par chriswac
Publié dans : #album
Album photos mai 2023 à Montmartre.

Ier mai. Cherchez Loulou entre le muguet et Bouddha!

Album photos mai 2023 à Montmartre.

2 mai. Chienne de vie! (square Nadar).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

3 mai. Le môme aux pigeons. (Square Louise Michel).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

4 mai. Les mariés en contre jour. (Rue du Chevalier de La Barre).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

5 mai. Joueur de oud. (Place du Calvaire)

Album photos mai 2023 à Montmartre.

6 mai. Têtes de pierre, tête de chair. Café rue du Mont-Cenis.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

7 mai. Les 2CV à l'assaut de la Butte (rue Chevalier de La Barre)

Album photos mai 2023 à Montmartre.

8 mai. Artiste place du Calvaire. Le Cri.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

9 mai. Soleil sur l'Elysée Montmartre. (bd de Rochechouart).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

10 mai. D'accord mais en douceur! (Place du Calvaire).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

11 mai. La pluie des glycines. (Square de la Turlure, Bleustein-Blanchet).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

12 mai. Moment de trêve. Allée des Brouillards.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

13 mai. Enfin du soleil sur la Butte! 

Album photos mai 2023 à Montmartre.

14 mai. Attente; Rue du Mont-Cenis.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

15 mai. Solitude du peintre; Place du Tertre.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

16 mai. L'enfant aux pigeons. Place Jean Marais.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

17 mai. Ressemblance. Rue du Cardinal Dubois.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

18 mai. les iris jaunes de l'Ascension.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

19 mai. Attente inquiète. viendra-t-elle devant le mur des "Je t'aime"? (Square Rictus)

Album photos mai 2023 à Montmartre.

20 mai. Chez Bachir, les glaces libanaises. Rue Tardieu.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

21 mai. Et mes cheveux, tu les aimes mes cheveux? (Square Louise Michel).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

22 mai. Saison des amours (Square Louise Michel)

Album photos mai 2023 à Montmartre.

23 mai. Car la vie est un manège. (Carrousel du square louise Michel).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

24 mai. Madame Corneille dans son arbre perchée.... ne tient pas en son bec, un fromage... (Boulevard Marguerite de Rochechouart).

Album photos mai 2023 à Montmartre.

25 mai. Mythe de Sisyphe version moderne!

Album photos mai 2023 à Montmartre.

26 mai. Nez à museau. Un sourire qui fait briller le soleil.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

27 mai. T'as d'belles lunettes tu sais!

Album photos mai 2023 à Montmartre.

28 mai. "Qu'il est bleu le ciel et grand l'espoir".

Album photos mai 2023 à Montmartre.

29 mai. Paris et le désir de s'envoler au-dessus des toits. 

Album photos mai 2023 à Montmartre.

30 mai. La vie en rose.

Album photos mai 2023 à Montmartre.

31 mai. L'enfant aux nymphéas, jardin Renoir rue Cortot.

Mai s'achève en beauté. Le mois où l'on fait ce qu'il nous plaît (paraît-il!).

Je publie l'album alors que je suis à Venise après des années d'interruption COVID. Et je trouve que cette photo du violoniste de la rue des Saules, jouant Vivaldi, est la transition idéale entre Montmartre et la ville du Moine Roux.

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